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Remis en contexte du quotidien d’un béophile en 2015, un Goldsmith considéré 20 ans plus tôt comme mineur peut facilement offrir une redécouverte enthousiaste. C’est justement le cas de ce Chain Reaction bourré d’idées thématiques généreuses, d’orchestrations inventives et de saillies d’action ultra-excitantes. BAM !!!  |
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« Petit » Goldsmith d’action typique des années 90, mais aussi l’un de ceux qui réjouissent le plus par ses mises en place et progressions rythmiques sans faille, et ses petites trouvailles (le recours à la guitare électrique, assez inattendu). Avec cette nouvelle édition, la frustration du trop court album d’origine s’envole enfin.  |
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Tout en étant un score mineur de Goldsmith, il regorge d’idées comme lui seul en avait. Cette édition nous apporte son lot de petits cadeaux et nous rappele que l’électronique peut se mélanger à l’orchestre quand c’est bien pensé, enfin du moins pensé, quoi… N’hésitez évidemment pas, ce serait dommage.  |
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Un actioner des années 90 par Goldsmith, même s’il ne figure pas parmi ses meilleurs travaux, ça ne se refuse pas : on appréciera toujours les idées disséminées et la belle tenue de l’ensemble. Car même mineur, un Goldsmith est toujours bien troussé.  |
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Voilà du Goldsmith pur jus : une énergie débordante, des idées casse-gueule qui marchent du tonnerre et une simplicité effarante. On est loin de ses chefs-d’œuvre, mais c’est diablement bon.  |
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J’ai toujours eu un faible pour cette béo archétype du Goldsmith des années 90, et le thème d’Eddie en particulier. Cet album rallongé, plus équilibré, m’a rappelé combien je raffole de son côté percutant et hautement divertissant, mais aussi qu’il est bricolé d’idées (fort bien) recyclées.  |