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Une édition définitive qui n’apporte que très peu de nouveautés par rapport au Prometheus paru en 2004, mais propose en bonus l’album parfaitement équilibré édité en 1992. Quoi qu’il en soit, si vous n’avez pas encore ce chef d’oeuvre de sensualité suintant d’un érotisme menaçant, vous savez ce qui vous reste à faire.  |
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Caresses ambiguës de cordes et convulsions orgasmiques d’un orchestre charriant tout à la fois violence et érotisme avec une sophistication exemplaire : dans le genre, Goldsmith touchait au sublime avec cette partition vénéneuse à souhait. Et on pourra difficilement faire mieux que cette nouvelle édition.  |
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Un chef d’œuvre incontournable du maitre, passant des jours à trouver le bon thème, ayant plus d’une fois envie d’abandonner pour finalement nous balancer une mélodie sulfureuse et inoubliable dans les dents. Un double album remplit ras le goulet, indispensable.  |
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Je ne sais pas vous, mais l’édition Prometheus me va très bien. Quartet s’adresse avant tout aux amateurs qui découvriront ce chef d’œuvre.  |
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Impossible d’oublier ces premières notes hypnotisantes (tout comme l’intro du film par ailleurs). Une vraie prouesse, peut-être même l’un des derniers grands coups d’éclat que Jerry Goldsmith ait offert à la musique hollywoodienne.  |
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La restauration sonore, passionnante de précision, dévoile tous les charmes des volutes orchestrales et électroniques de la partition. Mystérieux, envoûtant, vénéneux, percutant, mortel, ce score magistral n’a de basique que le titre. Les anciennes versions sont tout bonnement obsolètes.  |