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Ce troisième et dernier opus est aussi le plus achevé : à son travail déjà sensationnel sur les précédents, Silvestri ajoute le souffle de l’Ouest avec un enthousiasme aussi ravageur qu’un troupeau de bisons, avant de nous émerveiller grâce à un sublime thème romantique. Une magnifique intégrale, indispensable à toute bonne discothèque. |
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Un Back To The Future infusé western, avouez que ça ne pouvait qu’exciter d’emblée les oreilles, d’autant qu’à jouer avec les codes du genre et à introduire de nouveaux thèmes, on sent qu’à l’évidence Alan Silvestri s’est beaucoup amusé. Trente après, on s’amuse nous aussi toujours autant. |
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Et là tout explose, et Silvestri de se renouveler et d’incorporer délicatement les codes du western. Les différentes parties de la séquence du train prouvent encore une fois que le bonhomme en a sous le capot et peut nous éblouir par son génie orchestral. Mazette, quelle belle galette ! |
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Là, il s’agit moins pour Silvestri de pousser les gaz que de changer de braquet : un souffle d’Ouest décoiffe pour la troisième fois le spectateur ébahi et cette édition au tracklisting chronologique – c’est important – installe définitivement sur la plus haute marche du podium ce dernier opus musical de la trilogie. |
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On sent que Silvestri se fait plaisir : il marie les éléments bien établis des précédents scores aux clichés musicaux du western avec un enthousiasme communicatif. En y ajoutant de la romance (absente jusque-là), il donne à la série sa partition la plus variée et la plus riche. C’est le pied ! |