 |
Du 100% Kamen dans la veine de Die Hard et Lethal Weapon, rythmé avec décontraction par une contrebasse ou une basse électrique selon les passages. Mineur comparé à ses deux aînés, le score tient fort bien la route si on le prend pour ce qu’il est : une musique de thriller fun et énergique portant la marque de son inimitable auteur.  |
 |
Suspense au cordeau qui réjouira (sans pour autant les étonner) les habitués du compositeur de Die Hard, mais qui se distingue d’autres partitions du même acabit par le soutien bienvenu et savoureux d’une contrebasse au parfum jazzy.  |
 |
Toute une époque s’écoute au travers de ce score d’un Kamen qui nous manque plus que jamais à l’écoute des blockbusters actuels et de leurs boumboum qui ne servent à rien. De l’action orchestrale, du jazz, du rock, des arrangements aux petits oignons, une recette qui ravira vos convives et leur fera dire « Hmmm, c’est délicieux !»  |
 |
Quand on aime Kamen, on ne compte pas : les babysitters et les samaritains, même si c’est moins bien que leur modèle dur à cuire, on prend avec plaisir et on se régale avec les passages immanquablement excitants qui parsèment la galette.  |
 |
Avant de vous jeter dessus comme des petits margoulins, demandez-vous simplement si vous êtes des gros fans de Die Hard et Lethal Weapon, parce que c’est quand même bien moins étoffé que les titres précédemment citées. Mais bon Kamen, quoi…  |
 |
Ah ! Je l’attendais depuis longtemps celui-ci. Kamen reprend ses recettes des productions Silver (Lethal Weapon, Die Hard) et leur adjoint deux brefs thèmes pour les deux héros, donnant au score un cachet « film noir » franchement réussi et attachant, empli d’une impression de chagrin d’amour viril.  |