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Tandis que Glass est largement aux abonnés absents, Beltrami livre un travail propre et professionnel qui manque seulement d’inspiration et de personnalité. Pas la collaboration de l’année espérée, juste un score générique vraiment pas fantastique du tout. |
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La perspective était alléchante mais trop belle pour être concluante : la contribution de Glass est anecdotique et le cheminement de Beltrami ne fait que suivre des balises attendues et fonctionnelles qui ne contenteront que ses fans.
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A l’inverse d’Ant-Man, c’est ici une mauvaise surprise que ce plan à deux foireux. Entre un Glass inexistant et un Beltrami pas inspiré, on s’emmerde en se demandant encore quel était le but de la manœuvre. |
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Un duo de compositeurs prometteur sur le papier accouche d’une petite déception. Après un début d’album vraiment bon, la suite se perd un peu dans les pelotes de ficelles hollywoodiennes. |
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Second coup de cœur. Beltrami (& co.) fait son possible pour intégrer Glass dans cet ensemble hybride. Résultat : un voyage héroïque mystérieux, excitant, aux couleurs mutantes, collant aux canons actuels tout en étant unique. |
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De Glass, on retient le style minimaliste sombre et froid. Beltrami le digère habillement tout au long du score. Les ostinati de cordes sont efficaces, mais l’ensemble, au-delà du bel esthétisme, ne brille que sur de trop rares morceaux. |