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Jackman aborde cette comédie de SF avec un imperturbable sérieux : thème principal héroïque à souhait, action musclée et romance fleur bleue, le tout avec un sens de l’excès qui rappelle le second degré de certaines grandes partitions des années 80/90. De quoi regretter qu’il ne verse pas plus souvent dans le 100% orchestral. |
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Emphase héroïque, élans martiaux, saillies fantastiques, les ingrédients sont bien là, à leur place, évoquant à la fois son Wreck-It Ralph et le Powell d’Evolution. Il y manque tout de même l’essentiel une fois de plus : un supplément d’âme… |
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Jackman range l’arsenal électro qui habille d’habitude ses scores vidéo-ludiques : venant de sa part, le tout orchestral surprend. Dommage : l’écriture ne gagne pas spécialement en profondeur mais perd en dynamisme et surtout en sympathitude. |
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Alléluia ! Jackman a laissé tomber ses synthés miteux (enfin presque) ! Il saute les deux pieds joints dans du pur orchestral version patate (voir plus haut). Mais comme d’hab’, ça manque d’un vrai parti-pris. |
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Jackman marche sur les plates-bandes de Debney (Silvestri, Williams, Goldsmith, Powell passent à la moulinette) et parvient à me bluffer avec ce score d’aventure coloré au thème principal fun et accrocheur. Level complete! |
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Un score orchestral avec chœur et peu de synthétiseurs. Si Jackman compose de chouettes morceaux d’action, il n’arrive pas à imposer une thématique suffisamment développée pour emporter l’adhésion. |