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Ultra-datés, les quelques passages synthé ou pop sonnent cependant très Kamen, comme le reste du score, plus symphonique, évoque déjà les prémisses de Die Hard. L’ensemble est suffisamment de bonne facture pour qu’on puisse se laisser tenter. |
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Les inconditionnels du généreux Michael peuvent se réjouir et se délecter de cette partition typique de son auteur à l’époque, même si une telle parution ne dévoile rien qu’on ne connaisse déjà et enrichit finalement bien peu sa discographie. |
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Du pur Die Hard (en moins bien) dans cette aventure juvénile pas si juvénile : les coups d’éclat fouettent les pavillons bien comme il faut, même si l’écriture a pris un petit coup de vieux. |
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Au menu kaménien, nous avons d’abord quelques entremets synthétiques pas forcément du goût de tout le monde, mais surtout en plat de résistance, de la patate orchestrale dont vous me direz des nouvelles. |
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Béo de comédie d’aventure ludique, espiègle et pastiche parfois, typique de Kamen. Les instruments défilent dans la bonne humeur, mais il manque des thèmes forts qui auraient rendu le tout attachant et plus mémorable. |
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Un Kamen inédit et très énergique qui évoque Brazil, Dead Zone, Highlander et annonce Die Hard. S’il se révèle au fil des écoutes, le thème principal ne se dévoile pleinement que dans le superbe mais court Grand Finale. |