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Newman délaisse comédies et films pour enfants pour retrouver une veine romantique et légère. Dommage qu’il ne compose pas plus souvent pour ce type de film : sa musique est tendre, délicate et très agréable à l’oreille. |
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Armé d’un piano et de samples aux côtés de la guitare de Tony Mandracchia, David Newman souligne avec légèreté et tendresse les émotions sans plus de prétention. Inoffensif mais charmant. |
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Même pour ce qui a l’air d’être d’une mièvrerie totale, Newman fait de son mieux et dépose des mélodies douces et entraînantes. Du jouli meugnon qui fait du bien aux oreilles. Parfait pour emballer la voisine. |
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Newman sort le piano et le reste pour un discours trop téléphoné pour être sincère. C’est gentil, mais non merci. |
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Petit score du « petit » Newman en petite forme. Petit thème léger, quelques petites chansons pour accompagner ce petit CD. Petit plaisir, sans plus. |
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Surprenant d’entendre David Newman si intimiste et calme. Bonheur et douceur semblent être les maîtres mots ici avec piano, guitare, cordes. Court, joli et pas ennuyeux. Les pistes de Max Calo ? Euh… C’est un peu naze. |
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Newman exécute ici l’essentiel du boulot et propose un score acoustique sentimental plutôt léger, frais comme une pluie de printemps. Très confortable à l’écoute, mais manque peut-être d’un brin d’originalité. |