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C’est avec une admirable économie de moyens que Beltrami réinvente le genre, bâtissant un saisissant pont musical entre le son typique du western hollywoodien et celui, beaucoup plus expérimental, de Cineccitta. Une merveille, tout simplement.  |
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Ne cherchez pas : Beltrami avait signé là rien de moins que la plus jubilatoire partition pour un western depuis Wyatt Earp. Par contre, l’album d’origine étant excellent, un remastering aussi détaillé et des pistes anecdotiques sont-ils nécessaires?  |
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La note reflète uniquement le score et non l’édition, étant donné que les ajouts n’apportent absolument rien d’intéressant. Il n’empêche, ce score, quelle claque !  |
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Beltrami dégaine ses deux colts : sa patte très personnelle, taciturne, et une esthétique « spaghetti » plus poétique, touchant dans le mille avec un score âpre et prenant. Il est est né pour faire des westerns, ce type.  |
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Une des plus grandes réussites de Beltrami, ici rehaussée de 15 minutes, qui brasse les références aux classiques, de Tiomkin à Morricone en passant par Goldsmith, et s’impose par ses innovations orchestrales.  |