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C’est avec la même douceur contemplative que pour Bhopal: A Prayer For Rain que Wallfisch met en musique ce drame autour de la danse. Le score, sorte de new age orchestral, est éthéré sans pourtant manquer de substance. Une gageure !  |
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Wallfisch signe une lente élégie pour orchestre et solistes (voix, violoncelle) charriant à la fois une mélancolie chaleureuse mais tourmentée, et le sentiment d’une force que rien ne peut, au fond, endiguer. Bien vu !  |
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C’est fin, très fin, ça se mange sans faim. Comme quoi, on peut encore faire de beaux morceaux sans avoir à tomber dans le pathos ou le mystique pour les nuls. Une œuvre sincère, qui s’écoute entre chien et loup de préférence.  |
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Bel effort de la part de Wallfisch. Le violoncelle y est expressif, le thème principal mémorable et sensible, l’instrumentation se déroule, fluide, mais sans surprise. Semble aussi parfois évoquer l’éblouissement.  |
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Wallfisch fournit un score qui fait profondément écho au désir de liberté créatrice exprimé par le film. Aux frontières du mélo, il réussit à instaurer une réelle émotion, fragile et forte à la fois. Une bonne surprise.  |