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Les plus belles partitions de Doyle sont celles qui viennent du coeur. Cinderella est de celles-ci : valses féeriques, lyrisme enivrant, cavalcades effrénées et une éclatante joie de vivre qui emporte tout sur son passage. Un enchantement ! |
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Une partition toute de mouvements, véritable invitation à la danse même dans ses allures les plus enténébrées, animée par une grâce orchestrale tout à fait exquise : Doyle a composé là un genre de ballet romantique de toute beauté. |
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Doyle, d’une rare délicatesse, est de retour et il le fait savoir. La galette étant un mélange entre A Little Princess et Frankenstein, la puissance et l’émotion sont au rendez-vous. Merci Mr. Doyle : je ne peux pas m’arrêter de pleurer. |
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On ne se plaindra pas que Disney ravive la carrière de compositeurs qui agonisent artistiquement, même si l’approche bien propre et joliment niaise éloigne ce retour de Doyle de ses meilleurs travaux pour Branagh. |
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Doyle retrouve son style chatoyant, chargé de glucides. Un brin plus épuré ici peut-être ? Ça donne très envie d’entendre ça en concert en tout cas (Pumpkin Pursuit !). Pour les chansons finales, il y a la touche arrêt. |
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Après les déceptions de Thor et Jack Ryan, la collaboration Branagh/Doyle revient par la grande porte ! On ne pensait plus que Doyle ait l’occasion de composer une si belle musique, qui bénéficie en plus d’une qualité sonore stupéfiante. |