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Une musique discrète mais délicate, à fleur de peau même parfois lorsqu’elle fait appel au hautbois, qui développe une vraie sensibilité pour s’achever sur une très belle et longue pièce élégiaque. Dommage que ce soit si court !  |
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Plutôt que les ambiances, assez ordinaires, ou les poursuites dans le style de Thomas Newman, on retiendra surtout de cette courte partition une très agréable et prometteuse veine mélodique qui évoque parfois Rachel Portman.  |
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J’aime beaucoup m’endormir, c’est un fait. Par contre, je n’aime pas les musiques soporifiques. C’est, malheureusement, ce qui prédomine ici, avec parfois quelques belles idées pas assez exploitées. Dommage.  |
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Entre moments de tension et passages délicats à la Thomas Newman, le score de Leroy est sensible, mais un peu trop générique pour être mémorable.  |
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Met le hautbois en avant (et hop, une étoile !). Les passages les plus intimes sont très réussi, mais quand ça s’emballe, c’est un peu moins convainquant. Le tout a un petit quelque chose de JNH. Très joli mais un peu bref.  |
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Un score orchestral du meilleur effet, influencé par les sonorités pastorales et cristallines du Newman des années 90. Dans les derniers morceaux, le ton s’intensifie, les sonorités tirent vers les graves mais l’unité est conservée. Le mois commence bien.  |