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Yared invoque mille et une volutes ensorcelantes d’une magie orientale qui évoque même parfois les grandes partitions exotiques de l’âge d’or hollywoodien, sans pour autant manquer d’humour et de légèreté. Une jolie découverte, en tout cas. |
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Indéfinissable impression d’un moyen-orient à la fois authentique et toc, mais en toute circonstance joliment chic. Yared semble s’être beaucoup amusé et on ne peut que se réjouir à notre tour. |
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Yared avait compris De Broca et en a tiré un score fun, imaginatif, parfois poétique. C’est son Indiana Jones à lui et il n’a pas à en rougir, non monsieur. Seul petit bémol, il manque un mixage à la hauteur de la partition. |
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Music Box vous propose un séjour occidorientalisant et dépaysant pendant lequel vous aurez le plaisir de visiter des sites au charme indéniable. La détente est au rendez-vous ! |
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Habituellement assez hermétique à ce compositeur, je me suis laissé happer par ces mélopées instrumentales et arabisantes qui citent allègrement Lawrence Of Arabia. Salaam effendi ! |
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Yared joue les charmeurs de serpent et nous ressert 1001 fois le même thème. On se laisse amadouer avec plaisir par cette mélodie orientale plus-cliché-tu-meurs. Un conte musical sucré et suranné certes, mais jamais écœurant. |
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Avec énergie et panache, Yared nous embarque sur son tapis volant musical vers une Arabie de conte de fée. L’orchestre s’y taille la part du lion. Un score qui n’a pas à souffrir la comparaison avec le Aladdin de Menken. |