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Une ambiance unique, triste, voire dépressive : c’est approprié pour le film, mais un peu juste au regard des courtes 26 minutes que dure l’album. Heureusement, celui-ci se termine sur une belle version élégiaque du thème qui fait enfin naitre une larme d’émotion.
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Cordes et bois lentement oppressants, rehaussés par l’emploi bienvenu de samples d’orgue et évoluant vers un final un peu plus lyrique. Un peu austère évidemment, mais pas inintéressant.
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Des nappes plombantes, aucune thématique réelle et du coup on se retrouve à écouter un album froid comme un glaçon sur la banquise, d’un ennui profond. Dommage de se laisser aller à la facilité comme ça…
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C’est par le biais du drame et en mettant en exergue la gravité des cordes que La Pinta aborde cette enquête. Il manquerait peut-être un supplément d’âme et, pourquoi pas, un peu d’empathie pour que cela fonctionne vraiment.
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Pour une fois que le film est plutôt bon, le score ne suit absolument pas. J’aimerais bien ne pas faire la fine bouche, mais c’est définitivement trop nul pour faire quoique ce soit.
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Des cordes glauques soufflent un vent froid qui apporte l’écho glaçant d’une cloche funeste. Un orgue morbide laisse finalement sa place à des cordes poignantes. Prenant, grave et appliqué comme un Shore des 90’s.
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Une ambiance poisseuse avec quelques éclats de soleil, plus mélancoliques que lumineux. Les aveux du tueur sont accompagnés d’un son d’orgue… Un premier effet secondaire d’Interstellar ? Heureusement, le final et le générique de fin sont superbes.
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