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Un score tout en nuances (d’ennui) et empli d’une sensibilité (neutre) et de texture mystérieuses et feutrées (mornes) qui génèrent une (non-) émotion en demi-teinte. Bref, un score à double lecture (et un rédacteur bien trop indécis, mais oui). Du coup, une note tout à fait moyenne.  |
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Quand d’autres tentent d’élargir l’écran télévisuel, Arnalds semble lui s’employer à le resserrer avec des ambiances électro-chambristes travaillées et brumeuses. A réserver aux inconditionnels de la série.  |
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A part un ou deux sursauts, il n’y a que de l’ambiance, à l’image d’une première piste qui n’en finit pas. Ah, et puis de l’électro. Parce que c’est bien, c’est tendance. Ce qui me gêne, c’est qu’on sent que le gars pourrait faire mieux.  |
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Une musique de série habitée, peut-être grâce au background du compositeur islandais, mais aussi à une orchestration ambiancée. Manque juste plus de mélodie pour avoir une vraie belle découverte, même si les chansons sont superbes.  |
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Ambient pesant avec piano, quatuor à cordes et électronique, à la Mansell/Murphy. Il y a un je-ne-sais-quoi de mélancolique qui interpelle et qui intrigue. Les deux chansons avec la voix d’Arnór Dan sont fort réussies.  |
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Décidément, l’Islande reste une terre riche en musiciens innovants. Les producteurs ne s’y sont pas trompés avec Arnalds qui a su entourer à leur juste mesure la bourgade et ses habitants avec sa musique aérienne.  |