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Kent fait du Thomas Newman pour ce score orchestral mâtiné d’instruments traditionnels chinois. C’est assez joli, doux et subtil aussi, mais pour être honnête, l’ennui s’installe tout de même assez vite, et durablement.  |
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C’est dans ses aspects les plus récréatifs, mélodiques, et ses évocations asiatiques que la partition s’en tire le mieux, à défaut de parvenir à prendre un envol véritable lorsque l’action le demande. Sympathique, mais on espérait mieux  |
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Quelques thèmes sympathiques tout au plus. Je m’attendais à plus de fun alors que l’écriture est un peu poussiéreuse. Mais où sont-ils donc les 108 Rois-Démons ?  |
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Outre l’impression d’entendre le générique de Dexter avec des sonorités asiatiques, on se demandera peut-être où Kent veut en venir avec cette curieuse partition. Je suppose qu’il faut voir le film pour résoudre cette énigme.  |
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Petite musique sympatoche pour se détendre entre deux partoches qui envoient du lourd. Des petites notes asiatiques relevées qui se faufilent entre les mélodies pour notre plus grand plaisir.  |
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Effort louable. Le petit ensemble traditionnel associé à la guitare est frais, léger. Mais l’orchestre samplé limite trop la partition dans ses ambitions. Sur un ton très proche, The Touch de Poledouris est nettement plus satisfaisant.  |
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Kent propose un bel habillage musical avec une panoplie d’instruments chinois et des mélodies légères et délicates. En dépit de l’ambiance générale plutôt réussie, le score pêche dans ses morceaux d’action, trop fades et impersonnels.  |