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Un score assez mineur, doté d’un thème entrainant mais un peu trop pompier, et pas toujours subtil dans ses clins d’œil. Mais c’est Goldsmith aux commandes, son Love Theme est lumineux à souhait et ses séquences d’action sont juste sensationnelles.  |
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Au risque de tomber dans le remplissage étouffe-chrétien, Goldsmith est le seul à essayer de donner un peu de consistance à ce nanar couillon qui ne méritait pas autant d’égards. Ça n’en fait pas une grande partition pour autant.  |
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Un thème principal si atrocement pompier qu’il en devient parodique : Goldsmith a compris ce qu’on lui donne à illustrer, et achève le job en alignant pépère, mais souvent avec humour, les recettes qui seront les siennes dans les quinze ans à suivre.  |
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Comment résister à une aussi belle édition ? Tout est bon, comme dans le cochon. Vive les Mines du Roi Salomon ! Merci.  |
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Là où Star Trek était le Star Wars de Goldsmith, King Solomon’s Mines est sans aucun doute son Indiana Jones ! Et patate, quel score ! Quel thème ! Des notes bien huilées qui vous explosent aux oreilles ! BOUM !  |
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Alors oui, c’est la troisième fois que ce score est édité, ce n’est pas le chef-d’œuvre de Goldsmith, l’orchestre n’est pas toujours à la hauteur… mais bon sang, qu’est-ce qu’on s’amuse ici avec cette parodie d’Indiana Jones.  |