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Comme quoi l’asile, ça peut avoir du bon : Debney y a retrouvé ses esprits et son inspiration, et nous offre ici une une solide partition de thriller romantique aux accents parfois gothiques. Il est en tout cas de rigueur de se réjouir de cette résurrection.  |
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Et quelques errements plus tard, Debney revient à ce qu’il sait encore faire de mieux, soit une écriture orchestrale classique mais joliment troussée. Reste que lorsqu’il s’agit d’évoquer le malaise, le tout est bien trop propret pour convaincre.  |
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Cherchez pas, y a la Danse Macabre de Saint-Saëns, donc chef-d’œuvre. Debney ne s’en sort pas mal du tout et je le trouve même plutôt en forme.  |
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Un Debney dans la pure veine du compositeur, c’est à dire de très bonne facture mais sans beaucoup de couleurs ni de personnalité. C’est joli, mais il y a quand même plus palpitant, la faute à un album long et répétitif.  |
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Le père John, contrairement à ses récentes habitudes, nous livre un score plutôt chouette pour une fois. Bon, zéro originalité à l’horizon, mais le tout est simple et agréable à écouter. On n’en demande pas plus.  |
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Debney frappe un grand coup avec ce score de facture hollywoodienne classique. Moins mélodramatique que Dream House, le score vaut autant pour ses aspects dissonants que pour le parfum gothique qui sied à ce récit inspiré d’Edgar Poe.  |