|
La mécanique de Band est, comme toujours, bien huilée : on peut apprécier les cuivres imposants, moins les synthés qui remplacent le reste de l’orchestre. Mais la thématique et l’orchestration sont tellement dérivées de Predator qu’on frôle le plagiat. |
|
Le Predator du pauvre en quelque sorte, mais exécuté avec suffisamment d’entrain pour attiser la curiosité jusqu’au bout d’une écoute. À vous de voir si tout ceci mérite plus… |
|
Band fait les poches de Silvestri et de son Predator. Et comme souvent, plus c’est gros, mieux ça passe. Malgré le métier jamais pris en défaut de Band, le disque est un peu long et, on s’en doute, sonne très fauché. Mais on s’amuse ! |
|
Mon amour pour Band n’a pas été entaché par ses quelques ratages et je suis bien heureux de le retrouver pour ce score qui sent bon le B-movie. Et comme toujours, on en a pour son argent : sa générosité est toujours au rendez-vous. |
|
C’est avec un entrain indéfectible et une malice certaine que le père Band s’amuse à citer d’autres compositeurs et à perpétuer les clichés. Mais on peut se demander pourquoi Intrada n’indexe pas le prix du CD sur le budget alloué à la musique. |
|
Où l’on constate à quel point le score de Predator aura marqué Hollywood. Richard Band rend hommage au chef- d’œuvre de Silvestri avec les moyens du bord, synthétiques, mais heureusement rehaussés d’une section de cuivres au top. |