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Comme il l’avait fait déjà pour Wreck-It Ralph, Jackman pêche par excès de modernité, passant au second plan l’émotion que pouvait lui apporter l’orchestre au profit d’un électro-rock sans âme. Reste que ça s’écoute sans déplaisir, et c’est déjà ça.  |
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La recette de Wreck-It Ralph, reprise et appliquée telle quelle, sans trop se poser de questions, et surtout sans se soucier de créer une vraie identité émotionnelle. C’est aussi bête que ça et c’est bien dommage.  |
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J’ai trouvé Ninjago formidable et ce Big Hero 6 insupportable, alors que les deux scores partagent le même goût pour les changements de climat azimutés, un rythme électrisant aéré par des poses orchestrales plus lentes…  |
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Un album pas complètement désagréable à écouter, mais que l’on oublie aussitôt. Ses côtés pop sont plus agaçants qu’autre chose et viennent gâcher les quelques sursauts de symphonique.  |
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Quand Jackman fait du Disney et pas du clonage à deux balles de John Powell, il y a de quoi le trouver sympa. Mais ce Big Hero 6 clone Wreck-It Ralph en nettement moins bien. Du coup, c’est aussi moins sympa.  |
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Aucune surprise, la musique est dans la droite lignée de celle de Wreck-It Ralph, mélange symphonico-electronico-bourrino-syncopé. C’est dommage, ça mériterait nettement mieux, quand même, tout ça….  |
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Des strates de synthés, des sons venus des années 80, de la guitare électrique, des effets comiques… La suite s’avère fade et fatigante. Si le symphonique hollywoodien fait surface dans les derniers morceaux, cela ne suffit pas.  |