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Un double programme vintage débordant de peps, de pop et de cette ironie si typique de Goldsmith qui épouse à merveille la décontraction hilare de James Coburn tout en annonçant déjà certaines des grandes partitions de la décennie qui suivra.  |
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Oui, je continuerai à mettre des notes élevées à Papa Goldsmith. C’est comme ça, faites-vous une raison. Ça sent bon l’espionnage léger, jamais traité par dessus la jambe, comme seul le maître savait le faire.  |
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Le son est encore perfectible, mais le gain est appréciable. Pas de quoi balancer son Varèse par la fenêtre, mais pour ceux qui découvrent cet opus goldsmithien super cool, c’est le pied !  |
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Le père Jerry, dans les sixties, avait le rythme dans la peau, tu vois. Une parodie de James Bond ? Rien à secouer, il te sort une musique d’aventure super fun, avec un thème tellement bon qu’il aurait pu figurer dans un film d’espionnage tout à fait sérieux.  |
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Première édition en CD des 33 tours d’époque, des réenregistrements effectués par Goldsmith qui avait peaufiné ses scores pour l’occasion. Résultat, ça sonne bien mieux que les scores entendus dans le film, sortis partiellement chez Varèse. Un must.  |