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Blockbuster oblige, Velázquez laisse au vestiaire la forte personnalité qui le rend pourtant si attachant. En contrepartie, son score est d’une efficacité imparable et, en termes d’écriture, bien au-dessus de ce qui se fait d’habitude sur ce type de film. |
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J’attendais un Velázquez plus flamboyant et plus ouvertement 80’s. Las ! Il faudra se contenter de cette ruade bien attelée, mais très sage, laissant entrevoir quand la batterie s’invite le formidable colosse symphonico-rock qu’on aurait pu avoir. Frustrant. |
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D’un côté, on sent tout le talent du bonhomme, avec de vraies belles compositions. Et de l’autre, on entend le cahier des charges. Mais Velázquez est un malin : il détourne l’imposé à sa sauce et du coup, ça marche. |
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Plus classe et largement au-dessus de ce qui se fait en la matière de nos jours, cet Hercules ne transporte tout de même pas les foules. M’en vais réécouter le Troy de Yared, moi. |
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Pas assez d’argent pour vos vacances ? Vous avez tout claqué à la salle de muscu ? Pas grave, Hercules est là et pose sa testostérone musicale sur la table. Pas très original, mais suffisamment bien fait pour emporter l’adhésion. BLAM. |
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Velázquez propose ici un score tout juste passable. Les End Titles, classiques mais efficaces, auraient dû être le reflet du score. Hélas celui-ci s’avère banal et trop marqué par les sempiternels tics de RCP… |