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Comme les trois autres volumes, beaucoup de passages épatants et certains un peu plus anecdotiques. Mais Silvestri a suffisamment de métier pour ne jamais faire sombrer l’auditeur dans l’ennui, et c’est déjà beaucoup. |
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Tout juste la moyenne à l’image, mais avec désormais quatre volumes téléchargeables au compteur, il y a largement de quoi nous offrir une sélection resserrée sur album physique qui obtiendrait 5 étoiles question plaisir d’écoute. A bon entendeur. |
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Quatre volumes, quatre fois le même bilan : des passages purement orchestraux principalement dévolus aux cordes qui nouent immédiatement la gorge, entrelardés de plages électro-orchestrales déjà désuètes. |
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Bon, voilà, on est au bout et, euh, en fait, on aurait pu ne garder que le premier album et celui-ci. En attendant un seul disque reprenant le meilleur des quatre albums sortis en digital ? |
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Bon ça y est, c’est officiel, ça me casse les couilles. Démerdez-vous… Je ne sais pas, lisez donc les avis des mes collègues. Moi, ça m’a saoulé, j’ai même plus envie d’en parler, même si c’est toujours bien. |