|
Un Silvestri mineur, desservi par une présentation intégrale indigeste tant les pièces de suspense s’enchaînent et se ressemblent. Heureusement, le dernier acte sort enfin de cette torpeur pour dynamiter ceux qui se sont assoupis. |
|
Du Silvestri pur jus, c’est certain, mais cette partition n’a finalement guère de choses à offrir en-dehors d’un suspense stagnant et répétitif. Et ce ne sont pas quelques chœurs sporadiques ou la reprise du 1812 de Tchaïkovski qui changent la donne. |
|
Silvestri ne fut pas toujours le culturiste de l’orchestre shooté aux anabolisants, mais aussi un compositeur précis, capable de vous asséner deux trois idées envoyées par un orchestre jouant d’un bloc, vous laissant sonné, mais heureux. |
|
Un suspense rondement mené, mais le score est tout de même un ton en-dessous par rapport aux grands crus du château Silvestri. |
|
Chers lecteurs, parfois on jubile d’écouter un de nos compositeurs préférés pour écrire quelques bafouilles à votre attention. Mais là, c’est la douche froide. L’ennui. Le désespoir. Ce score répétitif aurait mérité d’être plus court… |
|
Rien de tel qu’un échantillon teigneux du Silvestri d’autrefois pour oublier un Red 2 pas encore digéré. Malgré ses redondances de façade, cette musique mastoc dégage toute l’énergie grisante qui est l’apanage de son géniteur. |
|
Un score pêchu, peut-être mal servi par une présentation déséquilibrée accusant un sérieux coup de mou en cours de route. Le final décoiffant constitue une récompense bienvenue. |