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La magie offre bien des possibilités. Ici, c’est d’une résurrection qu’il s’agit, celle d’un JNH transfiguré après sa traversée du désert, et son magnifique score, multicolore et passionné, donne une âme à un film qui en avait bien besoin.  |
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JNH sort cette fois le grand jeu et rehausse chaque scène en faisant preuve d’un sens du merveilleux et d’une plénitude orchestrale et chorale ensorcelants. Sa partition la plus aboutie depuis bien longtemps. Que cela fait du bien !  |
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La fantasy filmée, tout comme l’animation, devient le dernier bastion du symphonique inspiré. Quelle merveilleuse surprise de retrouver JNH dans le dernier carré des compositeurs qui y croient encore.  |
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BAM, dans ta face ! Entre le thème d’une splendeur et d’une originalité à couper le souffle et les bourrinages orchestraux à péter le dentier de mamie, c’est un disque qui va faire date.  |
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Quand l’inspiration de JNH revient, ça fait du bien ! Avec des moyens et du cœur, il rend ses lettres de noblesses à la fantasy. On s’en fout si c’est pour les gosses, Disney a sauvé JNH !  |
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JNH, on pensait l’avoir plus ou moins perdu. Mais vous savez quoi ? On l’a retrouvé ! Je répète, on l’a retrouvé ! Et il pète la forme ! Son dernier score est absolument somptueux, enfin digne de son talent. J’en verse une petite larme.  |
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Orchestrale, chorale, d’une puissance narrative retrouvée, la musique de Maleficent annonce la résurrection du JNH qui avait fait tomber de leur fauteuil les spectateurs de Flatliners, Wyatt Earp, Signs ou The Village.  |