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La honte, Debney, il ne connaît pas. Du coup, il est capable d’approcher n’importe quel projet avec professionnalisme et détachement, et d’apporter au film ce dont il a besoin. Clairement, Walk Of Shame ne mérite pas mieux. Mais Debney, oui. |
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Debney a-t-il réellement besoin de se perdre dans une contribution des plus insipides et une approche moderne pour laquelle il n’est manifestement pas fait ? D’accord, il faut bien vivre, mais tout de même… |
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Debney, en bon soutier des collines de L.A., dispose bien sûr d’un rayon comédie. On y trouvera cette fois de la guitare et de l’accordéon gentiment bluesy. Ça nous change du hip-hop. Ah tiens, y en a aussi. Bon. On vous dit, il a tout en rayon. |
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Ah bah nan, John, tu ne peux pas nous faire Lair et puis ça ensuite. Enfin, si, mais bon. Secoues-toi bordel ! Harmonica, électronique moche, non vraiment c’est moche. J’ai mis une étoile pour l’harmonica. |
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Voilà, il y a des mois comme ça où tu écoutes Lair et Walk Of Shame… Et tu achètes Lair. |
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Et donc on finit notre mois Debney avec un score à peine mieux que Draft Day, relativement plus fun pour une comédie US, voir un peu plus rock. Mais bonjour les clichés. Hey, Debnichoux, peut-être qu’il est temps de s’arrêter là ? |