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Un enregistrement de haut vol qui bénéficie de la même élégance et de la même passion que la musique qu’il met en exergue. Reste qu’il s’agit tout de même d’un Rózsa assez mineur. Mais un petit Rózsa vaut mieux qu’à peu près n’importe quel score de l’année…  |
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Des deux grands réenregistrements du mois, celui-ci se taille sans conteste la part du lion avec ses suites inédites et magnifiques, sa direction d’orchestre incisive et sa prise de son claire et contrastée. Un très bel ouvrage.  |
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Oh bah tiens, encore du Rózsa. Ah oui, mais pas n’importe quoi. Ce Man In Half Moon Street est une pure merveille. Classique à mort, Golden Age à donf. Merveilleux, prenant, cinglant comme un élastique au bout du nez.  |
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De la grande musique de film orchestrale et massive, mais aussi une facette plus romantique, imprégnée du suspens de tout film noir qui se respecte. Un vrai plaisir auditif.  |
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Le style résolument pas discret de Rózsa déploie ses fastueuses banderoles, le titre ne manque pas d’allure et la pochette ravit les yeux exténués sous le joug de Photoshop : autant de bonnes raisons de passer à la caisse.  |
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Intrada met les petits plats dans les grands avec cette compilation merveilleusement interprétée et enregistrée. Le son est glorieux, fidèle à ces œuvres, méconnues pour la plupart, du grand Rózsa. Un bijou.  |