 |
Un score à double face, comédie romantique à la Delerue, valse incluse, et suspense nimbé de mystère qui louche même parfois vers ce bon Herrmann. Comment peut-on avoir rejeté la quasi-totalité de cette merveille inconnue jusqu’à ce jour ?  |
 |
Un petit inédit de Delerue dans sa veine tendre et romantique teintée de suspense léger, ça ne se refuse évidemment pas, même si cette redécouverte confidentielle n’apporte rien d’essentiel à la discographie du compositeur.  |
 |
On se retrouve à valser avec Delerue, qui nous emporte et nous tourne la tête. Le genre de mélodies qui nous fait oublier nos problèmes, voilà comment résumer le thème principal de Partners. Parfait pour voir le monde un peu plus gai en étant à vélo.  |
 |
Fans de Delerue, vous avez bien de la chance. C’est avec une régularité quasi mensuelle que vous recevez votre petite pépite Deleruienne. Et celle de ce mois-ci est un vrai petit bijou qui fait de nouveau la part belle à son côté romantique.  |
 |
Ce n’est pas un secret, je raffole du lyrisme gracieux de Delerue. Mais quand sa musique, comme ici, se résume à un ronron un brin paresseux, on lui découvre des vertus lénifiantes qui feraient presque s’assoupir les sens au lieu de les flatter.  |
 |
Un Delerue dont personne n’avait rien entendu à part une poignée de minutes dans le film, c’est une bonne nouvelle. Ça devient un évènement lorsqu’à l’écoute, la quintessence du compositeur s’exprime. Magnifique.  |