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La verve de McNeely fait toujours merveille pour cette sixième incursion, candide et chatoyante, dans l’univers des Disney Fairies. Mais sortie digitale oblige, pourquoi ne pas avoir édité l’intégralité du score plutôt que ces 20 petites minutes ? |
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Cinquième aventure orchestrale, toujours aussi colorée et cette fois joliment gonflée d’air maritime, de la petite fée fétiche de McNeely. Mais un peu moins de vingt minutes ici, c’est bien peu pour s’en régaler réellement. |
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Thuriféraire attitré de la pauvre clochette envoyée au turbin par les tauliers de l’oncle Walt, McNeely aligne les virgules musicales mécaniques et insipides, et les clichés : grelots, chanson de taverne, abordage symphonique… |
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Si vous aimez le merveilleux, si vous aimez McNeely, précipitez vous sur cet album. Seule ombre au tableau, il ne fait que 20 minutes, dont une chanson pop nullissime et une chanson de pirate rigolote. Mais le score en lui-même, BLAM ! |
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Est-ce qu’il serait possible de virer un ou deux clones de Zimmer & Cie et de laisser McNeely faire son taf ? Allez quoi, personne ne remarquerait rien. Puis, ça nous ferait plaisir. Que c’est bon, j’ai vraiment besoin de ma dose de ce talent symphonique… |
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Passée la chanson niaise aux accents folk, on découvre 20 minutes de score pour orchestre et chœur. L’ensemble est frais et charmant et le thème du nouveau personnage, Zarina, évoque malicieusement la piraterie. |