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Comme toujours chez Debney, c’est pro à l’extrême, mais aussi si neutre et impersonnel qu’il ne reste pas grand chose à l’issue d’une écoute pourtant attentive, juste une vague ambiance de retransmission sportive, les commentaires stupides en moins.  |
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Il y a un je ne sais quoi de James Newton Howard dans cette préparation électro-orchestrale, mais à quelques sympathiques élans près, l’ensemble est bien trop gentillet et fade pour qu’on en retienne quoi que ce soit.  |
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Debney, c’est la promo du mois ? Après le rayon comédie, le rayon sport. Vous y trouverez aussi les produits habituels : gratte électrique, batterie et plages atmosphériques idéales pour habiller n’importe quel reportage sportif.  |
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Pas inécoutable, pas mal foutu, juste générique. Rien qui donne envie d’y revenir. Comme la plupart des travaux de Debney. Si vous êtes fan du bonhomme, pourquoi pas. Sinon, faites comme moi, zappez.  |
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Voilà, il y a des mois comme ça où tu écoutes Lair et Draft Day… Et tu achètes Lair.  |
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Le problème avec Debney, et on va le voir ce mois-ci, c’est son inconstance, à force de manger à tous les râteliers. Un manque cruel d’identité qui se fait terriblement sentir ici avec sa modernité passe-partout.  |