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Vibrant hommage à un cinéma d’un autre temps, la partition multiplie les clins d’œil aux classiques du film de guerre, de Jarre à Addison en passant par Bernstein, Arnold ou même Rózsa, sans jamais perdre la patine orchestrale typique de Desplat. Bravo !  |
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Comme d’autres avant lui, Desplat revisite à sa manière l’esprit des scores de films de guerre d’antan avec une évidente délectation (et force clins d’œil à Jarre et Bernstein notamment) dans une partition qui lui ressemble néanmoins à 100%.  |
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Desplat a-t-il une écriture à lui, ou un professionnalisme caméléon à l’épreuve de toutes les attentes ? Ici, il emballe toutes les recettes du film de guerre. Ça pourrait être cynique et sans âme, c’est enthousiaste, exaltant et frondeur.  |
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On se croirait de retour dans les années 90. Et c’est un compliment. Desplat nous donne de quoi nourrir nos oreilles fatiguées et parfois blasées par les scores de notre époque. Eh ouais. Oh que les trompettes de ce disque sont à l’ancienne… Miam !  |
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Quand Desplat décide de partir à l’aventure, on le suit les yeux fermés. Et on a bien raison parce que ça dépote sévère ! Un mélange orchestral aventures / film de guerre qui paye son hommage à tout un tas de classiques hollywoodiens.  |
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Qui peut résister à cette relecture des grandes heures du cinéma anglais, notamment A Bridge Too Far ? Des thèmes, une véritable écriture utilisant les différents pupitres… Ce score old school constitue une incontestable réussite.  |