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Shapiro multiplie les styles, démontrant au passage une versatilité qu’on ne lui connaissait pas jusqu’à présent. Mais privé des images, son score manque aussi terriblement d’unité et d’un véritable fil conducteur. Frustrant.  |
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Difficile exercice que cet enchaînement de courtes interventions. Shapiro s’en sort toutefois avec les honneurs : rafraîchissante, la diversité de tons est parfaitement assumée et maîtrisée, à défaut d’être entièrement captivante.  |
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Lorsque la typique musique de film indépendant sert le comique poétique de Ben Stiller, les escapades de ce Walter Mitty se laissent suivre avec plaisir, même si les thèmes manquent de développements.  |
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Même si son nom rappelle vaguement le score de Rózsa disponible ce mois-ci, la musique n’a absolument rien à voir. On est à cheval entre la musique de film indépendant plus élaborée que d’habitude et quelques passages percussifs un peu plus soutenus.  |
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On espérait un salutaire grain de folie et des délires bigger than life, on se retrouve avec de prévisibles couinements « mode ». Quand, de loin en loin, il arrive à Shapiro de montrer un peu les crocs, on présume donc que c’est par pure inadvertance.  |
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Labellisé « compositeur de comédies » depuis un bail, Shapiro fait du Shapiro. Ce n’est ni fulgurant ni honteux, simplement tiédasse. Dommage, le film, qui propose des passages dramatiques et héroïques, méritait un peu mieux.  |