On le sait, Wallfisch est capable du meilleur comme du pire. Ici, c’est le pire du pire qu’il a choisi tant ses ambiances sont ternes et soporifiques à souhait. À tel point qu’on s’endort très vite, au risque de rater le très joli mais tardif final.
Mais où Wallfisch veut-il en venir avec ce suspense inexistant ? Reste de ce manque total d’implication un climax émotionnel qui, s’il n’est pas transcendant, ne se fait pas attendre pendant des heures (haha).