 |
Édition une fois de plus rêvée pour un titre pivot de la filmographie de Williams : s’y exprime en toute liberté un americana un peu roots, fréquemment gaie et pleine de vie portée par une orchestration parfaitement équilibrée pour mettre en valeur guitare, banjo, harmonica, violon folk et même kazoo. Quelle classe !
 |
 |
Superbe ! Hein, vous voulez plus de mots ? OK. Si vous aimez l’americana chatoyant, vous allez vous régaler. Si vous n’aimez pas l’americana, vous allez aussi vous régaler, car c’est impossible de ne pas adorer ce score, surtout avec une présentation aussi fournie. Retenez bien le nom de ce compositeur, je parie qu’il n’a pas fini de nous surprendre.
 |
 |
En plus d’avoir motivé un célèbre duo, cette B.O. joyeusement americana pour larrons en goguette, pimentée de jazz roots, vous rendra vos douze ans dans le Mississippi faulknerien d’il y a 120 ans. Qui dit mieux ? Longtemps l’objet de grosses dépenses pour les amateurs, ce classique du JW pré-SW trouve ici son édition définitive.
 |
 |
Le son (et les tics de compositions) du Williams des années 70. J’adore. Alternativement fun, mélodique, mélancolique, bouillonnante et même dramatique, la musique de The Reivers est un petit chef d’œuvre. Oui, encore un. Mais c’est Williams. Qui peut encore s’en étonner ? Et cette version extended vaut vraiment la peine.
 |
 |
Pour ce film qui respire la vie, le compositeur se la joue americana, quelque part entre Sugarland Express et The River. Là où c’est plus étonnant, les instants plus doux semblent annoncer les futures partitions de SF comme Close Encounters Of The Third Kind et E.T. notamment. Et c’est beau.
 |