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On avait quitté Söderqvist sur ses choix tiédasses pour Madame Web, on a donc plaisir à le retrouver sur un projet plus intéressant pour lequel il concocte une approche avenante mêlant fantasy et folk tout en intégrant des éléments tirés du travail de Björn Isfält pour une adaptation populaire des 80’s. Sans réelle originalité mais très agréable.
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Je ne suis pas spécialement fan du compositeur suédois, mais son approche pour cette mini-série semble assurément pertinente (mais pas forcément excitante). Si l’on y retrouve des ambiances médiévales, qui collent assez bien à l’histoire, cela s’étiole sur la durée (seulement 60 minutes pourtant !). Peut-être bien trop générique ?
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Magie, ampleur, médiévalisme scandinave, rythmes martelés, shouts vocaux : un score à la Powell qui suit (trop ?) le menu actuel du genre, dont des plages plus électro. Mais c’est imaginatif, Söderqvist varie ses effets et colore à merveille ce conte d’Astrid Lindgren, d’où une note relevée.
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Je ne suis d’habitude pas très attiré par ce que fait ce compositeur. Le fait est qu’ici son esthétisme se rapproche plus de celle d’un Bear McCreary des débuts, ce qui n’est évidemment pas pour me déplaire. Malgré cela, il reste encore trop de plages d’ambiance ou de sound design. Mais quelques morceaux font relever la tête.
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Série suédoise d’après une histoire déjà multi-adaptée. On est dans le médiéval, et parfois même dans le celtique via une chouette B.O. où le compositeur navigue de style en style avec un égal bonheur. Pas mal du tout.
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