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Associer Salinas et Safinia dans un même mouvement, c’est un peu essayer de mélanger l’eau et l’huile. Le premier apporte avec lui percussions et instrument asiatiques et d’agréables mouvements lents pour violoncelle, tandis que le second se charge du bruit à grands coups de guitare électrique et d’électro-moche. Un mariage pas très convaincant.
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Sonorités de violoncelle, erhu, flûtes et moult percussions, approche rock… Situation singulière que cette bande-son qui a vu les deux musiciens choisir en amont des musiques temporaires avant de remplacer finalement le compositeur en place ! Le job a donc été fait dans l’urgence et cela se sent tant il s’avère peu inspiré et convaincant.
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« Vous reprendrez bien une dose de RCP ? » « Oh non, c’est gentil, mais je suis plein… » « Allons bon, juste une gaufrette aux saveurs orientales ! » « Bon… J’imagine que je ne suis plus à ça près. Allez, soyons fou ! » « *BAMF* » « Oh. »
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Mélange de sonorités asiatiques, d’orchestre et d’électro-rock, la musique fonctionne en premier lieu grâce à une large palette d’instruments typiques (percus, cordes, vents). Le verni orchestral reste cependant banal et l’électro-rock s’avère un peu pénible. On passe toutefois un bon moment, de pistes touchantes à d’autres excitantes. Décevant.
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Si l’instrumentation asiatique est fort à propos, elle n’est pas non plus très originale. Mais le tout, mâtiné d’électro et d’orchestre live, est suffisamment bien dosé pour qu’on ne s’ennuie pas. C’est déjà ça. Cependant, d’un point de vue thématique, c’est assez pauvre. Dommage car il y a une certaine recherche sonore par instants.
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