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Si on apprécie initialement l’approche plus mélodique et orchestrale qu’à l’accoutumée pour ce genre de film, avec en particulier quelques passages d’action/tension plutôt honnêtes, on en regrette d’autant plus que l’album finisse par s’égarer dans d’interminables atmosphères bien trop convenues.  |
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Un petit score (pas) fantastique (du tout) qui accumule bien des poncifs du genre, pas les plus excitants, et qu’on suit en fin de compte avec un ennui poli.  |
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James Gosling aime sans doute Goldsmith et partage ses initiales. Et il faut dire que l’écoute de ce Hallow rappelle bien souvent les scores bourrins de séries B du maître. Pas aussi bien écrit, parfois même raté sur certaines séquences, mais on sent une envie de bien faire plutôt rare pour ce genre de production.  |
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Score d’horreur avec orchestre samplé, violon solo et voix d’enfant. Il règne une atmosphère spectrale, levant une brume poisseuse et glaçante. L’électronique froide et bourdonnante n’est pas très agréable. La première piste effleure le cadre irlandais et constitue, avec la chanson finale de Sea Read, le meilleur d’un album ennuyeux.  |
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Dans le générique, Gosling parvient à évoquer le mystère qui sied à l’intrigue, retrouvant presque le charme magique du Haunted Summer de Chris Young. Hél,as la suite, passablement ennuyeuse, déçoit en louchant vers le sound design ou les effets de manche lourdingues.  |