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J’aurais bien parié sur une guitare trainante façon Santaolalla, mais c’est plutôt du côté du Beltrami de The Three Burials of Melquiades Estrada et The Homesman qu’il faut aller chercher les racines des meilleurs moments de ce joli score contemplatif.  |
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Une atmosphère avant tout, assez prenante, à base de guitares, percussions et synthés, et pour laquelle les deux musiciens ne négligent pas pour autant la composante mélodique. Le documentaire nous offre encore une très belle surprise.  |
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Une bande-son minimaliste qui réussit à garder l’attention malgré ses nombreuses plages d’ambiances. La guitare utilisée de diverses façons devient alors thématique et réussi à faire passer la pilule d’effets électroniques trop entendus.  |
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Belle surprise que ce score tout en retenue autant dans sa force narrative que dans l’évitement d’un folklore de façade. Les émotions s’y jouent de manière mesurée, on regrettera juste que la thématique ne soit pas plus mise en avant.  |
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Je m’étais dis qu’on aurait à coup sûr du Gustavo Santoalalla version Babel ou Last Of Us. ET BOUM DANS LES DENTS ! C’est exactement ça. Who’s the boss? Hein ? Hein ?  |
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Vraiment sympa. Beaucoup de guitares pour faire couleur locale, mais utilisées avec panache et sans cynisme, plus pas mal d’idées accrocheuses. Le dernier quart est un peu moins engageant, avec du suspense un peu flottant.  |
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Documentaire mexicain sur la lutte contre les cartels de la drogue qui bénéficie d’un score orchestral dense, intense et sérieux, où la guitare et les sonorités cristallines dominent. Si vous aimez la musique de Gustavo Santaolalla, ce score est fait pour vous.  |