Dunkirk (Hans Zimmer, Lorne Balfe & Benjamin Wallfisch)

UnderScorama • Publié le 15/08/2017 par

DunkirkDUNKIRK (2017)
Compositeurs : Hans Zimmer, Lorne Balfe & Benjamin Wallfisch
Éditeur : Sony Classical / WaterTower Music
Format : CD, Digital & LP
Date de sortie : 21/07/2017

2 out of 5 stars
Olivier Desbrosses A la demande de Nolan, Zimmer a basé presque toute sa partition sur une application très scolaire de la gamme de Shepard (une progression de fréquences séparées par un intervalle d’octave). Il a raison, quelque part, faut toujours faire ce que demande le patron. Mais est-ce que ça excuse la platitude musicale qui se dégage de l’ensemble ?
1 out of 5 stars
Florent Groult De la « pâte » vaguement indus et défaitiste au Nimrod d’Elgar « vangélisé », blafard mais empli d’un espoir en devenir, en passant par l’obsédant tic-tac du temps, les intentions sont claires. Pourtant, la saturation extrême de l’espace sonore, rouleau compresseur à la limite de la nuisance, n’est-elle pas tout bêtement contre-productive ?
2 out of 5 stars
Pierre Braillon Un son puissant, des basses qui pulsent, des cordes martelées en boucles… Le mur sonore de Zimmer, servi par une production subtile comme un Panzer à l’assaut et soutenue par des moyens hollywoodiens. Dans son genre, c’est galvanisant, même si on a toujours l’impression que c’est fait pour être écouté avec les pieds. Et pourquoi pas ?
2.5 out of 5 stars
Baptiste Brylak Un. Oui, UN. Parce que ce truc est musicalement pauvre, inutile, grossier et fainéant. Parce que la seule idée vient de Benjamin Wallfisch. Parce que ça pourrait peut-être servir à illustrer une chronique de BFM ou un « reportage » de Zone Interdite. Parce que maintenant faut circuler, y a plus rien à entendre chez Zimmer.
1 out of 5 stars
Sébastien Faelens La technique est là, la volonté de faire passer, non pas un message mais plutôt une sensation, également. Le problème est que ce matraquage en règle – domaine dans lequel Zimmer n’est jamais allé aussi loin – fait fonction de musique. Pour l’émotion, la vraie, on repassera.
2.5 out of 5 stars
Milio Latimier Chaque mesure, chaque décibel semblent pesés mille fois, limés, épurés, pour atteindre l’objectif de piquer les nerfs à vif, le moteur étant bien sûr une tension obsessionnelle. Le travail fourni et l’ambition formelle forcent le respect. L’ensemble m’a pourtant laissé froid et je n’y trouve pas de quoi retenter l’expérience (fort honorable) du général Zim.
3 out of 5 stars