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Toute la sensibilité de Pascal Gaigne est à l’œuvre dans cette belle partition intimiste qui évoque parfois la grâce aérienne de John Barry, en particulier dans son thème central. La délicatesse de l’instrumentation, la sincérité de la thématique et l’émotion prégnante qui s’en dégage achèvent d’en faire l’un des plus beaux fleurons de son auteur.
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Un thème principal d’une grande délicatesse introduit à la harpe où on s’attend presque à voir surgir la cithare de Delerue plutôt que le piano ou le bandonéon choisis par Gaigne. Des moments d’une très belle sensibilité donc, comme souvent chez ce compositeur discret mais enthousiasmant, et un recours ponctuel au saxophone du plus bel effet.
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L’album est un peu long, mais Pascal Gaigne reste un compositeur de talent qui aime les mélodies et les thèmes. Et ça s’entend. Le piano sert à raconter l’histoire, soutenu par l’orchestre de façon subtile et douce.
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Entre le jeu délicat des instruments, la recherche mélodique et l’engagement évident dans le récit musical, le compositeur est décidément très fort pour nous amener au plus près des personnages et de leurs émotions. Comme un petit tourbillon à la fois emphatique et intime.
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Plus j’écoute du Pascal Gaigne, plus j’adore. Je lui trouve une simplicité et une fraicheur inouïe qui m’emporte, telle une bourrasque émotionnelle, avec son thème magnifique et ses morceaux plus soutenus. Sans doute une des meilleures partitions de cette année.
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Délicate musique mêlant mélancolie, recueillement, anticipation, excitation, émerveillement. Les thèmes et motifs sont établis efficacement et on se plaît à suivre leur évolution. Les choix instrumentaux sont aussi séduisants, clairs et légers mais ambitieux à la fois. Le pupitre des vents est agréablement mis en valeur. Un nouvel excellent travail de Gaigne.
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