Anomalisa (Carter Burwell)

UnderScorama • Publié le 15/01/2016 par

AnomalisaANOMALISA (2015)
Compositeur : Carter Burwell
Éditeur : Lakeshore Records
Format : CD & Digital
Date de sortie : 01/01/2016

1.5 out of 5 stars
Olivier Desbrosses Ce qui s’annonçait comme un sympathique Burwell, à la délicatesse teintée d’introspection façon Barton Fink, s’avère en réalité être l’arnaque du mois : ce n’est pas un album, mais une bande-son constituée à 70% de dialogues du film. Dans ces conditions d’écoute, je refuse purement et simplement de noter ce pourtant très joli score.
0 out of 5 stars
Florent Groult Certes, il s’agit à l’origine de « théâtre sonore », mais gâcher à ce point les accords intimistes et mélancoliques que Carter Burwell fait interpréter à ses huit musiciens avec l’intrusion constante de dialogues, quelle bêtise ! La note reflète donc bien la qualité de la musique, pas cet album qui mériterait lui amplement son zéro pointé !
3 out of 5 stars
Baptiste Brylak J’adore Burwell, j’aime l’étrange et le subtil, mais cet album me pose problème. Déjà parce qu’il y a beaucoup de dialogues (spoilers) et qu’il est étrangement produit. Mais c’est tout de même très joli.
2.5 out of 5 stars
Sébastien Faelens Sur la pochette du disque ici présent, il y a écrit : « Music from the motion picture » avec le nom du compositeur en dessous. Et bah nan ! Chez Lakeshore, ils ont fait la démarche intellectueuse de vous repasser le film sans les images, avec des dialogues on ne peut plus intrusifs… Grrr !
2 out of 5 stars
Olivier Galliano Burwell, j’aime bien, mais là c’est un peu galère d’apprécier plus de deux notes et demi avec cette mauvaise manie de foutre les dialogues du film par-dessus la musique. Comme Human Nature finalement : tant pis pour la musique.
1 out of 5 stars
Milio Latimier Zut, encore une béo remplie de dialogues ! Avec son attirail habituel (piano, bois, cordes, percussions légères), Burwell révèle les bonheurs et tourments intérieurs du héros. Mais on a constamment l’impression d’écouter le film (privé de ses images), la musique passant en arrière plan. Grrr…
1.5 out of 5 stars