Balfe se met en quatre, comme le prouvent les développements mélodiques et certaines pièces assez ambitieuses. Mais la longueur de l’ensemble et quelques morceaux plus convenus tirent un peu l’album vers le bas.
Curieux amalgame musical qui aligne un beau thème à la John Barry, lorgne parfois vers les sonorités de Thomas Newman tout en gardant résolument les pieds dans les consonances typiquement RCP. Pas désagréable mais néanmoins très inégal.