Nan mon problème réside plutôt dans le houblon et la canne à sucreDadid a écrit :C'est toi qui a abusé de la pomme !

Nan mon problème réside plutôt dans le houblon et la canne à sucreDadid a écrit :C'est toi qui a abusé de la pomme !
J'ai bien une petite idée. Refais le test d'ici une petite heure et ça devrait être bon.Krull a écrit :Oui bah le Krullito il est pas content. Sur sa tablette pommée, il souhaitait couronner cette bonne tranche de lecture par une vidéo idoine et s'est fracassé à une séquence désespérément muette.
Le Diablotin très cornu pourrait-il jeter un oeil à cette entourlépoule audiovisuelle
Il y a parfois des jours, tel que celui-là, où je me dis, songeur, que les (boire et) déboires de Krull ne démériteraient pas dans un poème épique de la carrure de l'Iliade... L'avantage, pour cette fois, étant qu'il n'est plus permis de douter de sa valeureuse assiduité à suivre le périple hebdomadaire des doux dingues Pierrot et Van Cleef. Mon Krullito, ça me va droit au coeur !Krull a écrit :Nan mon problème réside plutôt dans le houblon et la canne à sucreDadid a écrit :C'est toi qui a abusé de la pomme !
A mes yeux, et je suis loin d'être le seul je pense, ça ne fait pas l'ombre d'une doute. Pour comparer avec un cinéaste qui s'en est profondément inspiré, La Fiancée est à Frankenstein, ce que Batman Returns est à Batman.Sam Lowry a écrit : Je ne suis d'ailleurs pas loin de penser que cette suite est supérieure à l'oeuvre originale.
Une opinion très loin d'être marginale, en effet, au coeur du Landerneau fantastique. Et qui trouve son inattaquable justification à chaque séquence de ce film merveilleux.Pierrebrrr a écrit :A mes yeux, et je suis loin d'être le seul je pense, ça ne fait pas l'ombre d'une doute.Sam Lowry a écrit : Je ne suis d'ailleurs pas loin de penser que cette suite est supérieure à l'oeuvre originale.
Je plussoie cet avis, surtout du point de vue de la noire poésie qui s'en dégage !Pierrebrrr a écrit :Pour comparer avec un cinéaste qui s'en est profondément inspiré, La Fiancée est à Frankenstein, ce que Batman Returns est à Batman.
Ce Harry là, aux frontières du fantastique, m'a toujours fasciné. Il y a, bien sur, la propension habituelle de notre Clint à faire de son héros un véritable punching-ball, défouloir de toute la haine des gredins qui le dérouillent. Mais il y a ce petit plus qui fait de ce volet là un film un peu à part dans cette pentalogie. Enfin, tout ça pour dire, merci Lee pour ce texte et en particulier ce commentaire sur cette scène étrange et symptomatique du parcours du personnage de Sondra Locke.Dirty Harry revient. Et le vieux Van Cleef vous certifie qu'il n'est pas content !
100% fan en ce qui me concerne ! L'ami Pierrot a bien cerné le "problème" de l'outrance musicale de Rosenmann pour ce film. "Robocooooooop"... pu... je ne m'y ferai jamaisLee Van Cleef a écrit :50% geek (même s'il va prétendre le contraire, vous verrez), 50% chroniqueur, 100% UnderScorien
Leonard Rosenman a écrit :“I thought the score for the first film was so absolutely dreadful. There was no sense of the orchestra, no sense of drama. It was just a dopey, lousy score, and it just didn’t work. I’m not a fan of Poledouris. The end credits, which is the best opportunity for any composer, was just pasted together. My end title is a real piece of music, and the middle part is something very different from most film scores.”
-propos parus dans le numéro 172 de Starlog Magazine