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Quelques voix et surtout une multiplicité de sonorités solistes (guitares folk, clarinette klezmer, mandoline, flûtes irlandaises, ukulélé, banjo …), en plus de l’orchestre, forment les atouts de cette bande son joliment métissée, souvent joyeuse, parfois douce et tendre, tissant une aventure haute en couleurs apte à ravir petites et grandes oreilles.
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Sympathique, évidemment, cette illustration un peu celtique et klezmer du cortège gothique que Sfar emprunte un peu partout, se payant une ou deux envolées swashbuckler. Mais le score tire un peu en longueur, les morceaux se ressemblant un peu tous, swinguant, certes, mais toujours sur le même tempo.
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Après avoir musicalisé les deux premiers films réalisés par Joann Sfar, à savoir Gainsbourg, Vie Héroïque et Le Chat du Rabbin, Olivier Daviaud revient sur ce nouvel opus. On voyage en musique, au gré du folklore slave, italien et même irlandais. Un beau score, nourri à l’aventure, à la féerie et à l’émotion. Petit vampire, mais grande musique !
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Le début est tout mignon avec sa chanson… Et puis grosse surprise dès le second extrait où l’orchestre explose, avec de sérieux accents pirates ! Ça virevolte, et ça défouraille sévère tout au long de cette partition bien jouissive qui convoque autant la musique celtique que l’âme slave.
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