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Avec ses guitares, un piano et quelques cordes, cette approche qui évoque ponctuellement Thomas Newman n’a guère d’autre prétention que d’accompagner gentiment, d’une chaleur plus ou moins tristoune, le parcours du personnage principal. Joli mais très inoffensif.
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La charmante comédie dramatique indé du mois : sa vue sur le piano à qui on lâche la laisse, sa terrasse pleine de solo de violon, ses crescendos orientés plein sud, son olivier à l’ombre duquel on fera avec bonheur une sieste réparatrice vers la plage 3. Je suis méchant parce qu’il y a dans ces banalités musicales une émotion simple mais sincère.
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Je ne connaissais d’Arnau Bataller (non, ce n’est pas de l’exhibitionnisme) que [REC] 4: Apocalypse et La Herencia Valdemar 1 et 2. Ce nouveau score en est évidemment loin. C’est beau et simple et ça parle directement à mon petit cœur. Entre comédie et mélancolie, un score qui fait du bien à l’âme.
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Jolie petite partition pour piano, guitare, violon et pizzicato. Tout doux.
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A la manière de son compatriote Velázquez, tout ce que touche Bataller est rarement à jeter. Il fait ici la part belle au violon solo et au piano pour cette comédie dramatique hispanique. Avec un peu plus de trente minutes au compteur, le disque s’écoute avec plaisir et on se surprend à siffloter le thème principal, fort bien troussé.
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