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Des guitares électriques et acoustiques, un violon folk et un harmonica pour l’ambiance country, un peu bluegrass même sur les bords, ce qui constitue l’atout majeur d’une contribution d’épouvante par ailleurs menée avant tout par des synthés d’un autre temps. Sympa pour les amateurs du genre.
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Pur score eighties : tout au synthé avec moments effrayants dans la plus pure tradition de la décennie – on pense à Brad Fiedel, à Charles Bernstein et à Richard Band. Le reste mélange guitare électrique, harmonica, claviers pour construire un americana gothique et rural assez réussi.
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Disparu bien trop tôt, Richard Stone avait un son bien à lui (essayez le superbe Sundow). Ici, il compense le manque de moyenspar des synthés envoutants et sympathiques et quelques instruments acoustiques (guitare, harmonica..). Une ressortie un peu inattendue (pas de bonus par rapport à celle de Varèse) mais très intéressante.
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Mort jeune, Richard Stone reste mal connu, peu aidé par une faible édition discographique (Sundown et Medal Of Honor). Pour ce nanar de Stan Winston, Ricky sort les synthés et quelques instruments, pour une ambiance redneck et horrifique. Une partition plutôt attachante, qui vaut en tout cas plus que le film.
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Au menu : une partition horrifique aux accents country, tout droit sortie des années 80 (elle date de 1988). Stone compose ici une musique plutôt efficace et racée, bourrée de synthés. Problème : ce n’est pas du tout ma came.
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