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Des influences, il y en a beaucoup dans cette partition très classique, en particulier le Danny Elfman de Black Beauty, chœurs à l’appui. Mais les développements thématiques sont charmants, les orchestrations font preuve de goût, et la fraicheur qui se dégage de l’ensemble achèvera sûrement de convaincre jusqu’aux plus grincheux des béophiles.
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Charmante composition au demeurant, mais dont on soupçonne néanmoins que sa conception a été très référencée en amont : c’est en tout cas ce qui vient à l’esprit lorsqu’on croit déceler un peu partout les influences, en particulier, de Danny Elfman, James Newton Howard et Alan Silvestri. Plaisant mais vite oublié.
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Le film se veut un conte, et la bande originale n’y est pas pour rien : jouant la carte d’un merveilleux très elfmanien volant sur des chœurs enchanteurs, la musique de Laurence riche a toutes les qualités sauf l’originalité : émotion, sens du récit, construction dramatique prenante. Chapeau
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Place à la gaudriole ! Voici donc le retour du gosse poissard dont l’entourage disparaît systématiquement. Partition triste, donc. Triste, triste, et encore triste. Mais c’est bien fait et le petit Thibault Sallès qui double le Rémi du film a un joli brin de voix.
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