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Je m’attendais plutôt à tomber sur un score folk indé comme on en entend bien trop souvent, et pas du tout à trouver sensibilité et lyrisme, et même quelques envolées orchestrales dans la grande tradition de l’americana. Joel P. West prend du galon, et c’est tant mieux pour nous. Du coup, on va attendre sa prochaine partition avec intérêt.
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Petite partition pour piano et orchestre incluant quelques touches folk (guitare, dulcimer, la très belle chanson originale Summer Storm) et qui évite tout pathos, quitte à être du même coup un peu trop sobre : l’équilibre entre mélancolie et douleur, en conservant une certaine luminosité, est un pari bien difficile à tenir, mais West ne démérite pas.
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De la guitare, du violon, un climat d’americana folk, traversé par des crescendos émotionnels géométriques un peu incolores comme ceux de Desplat, rien que de très convenu et calibré, mais je suis justement le client idéal pour ce genre de traversée musicale.
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L’habitué de Sundance nous offre un score rempli d’americana et de folk music pour mieux nous titiller les glandes émotives. Ce genre d’album ne doit pas s’écouter après une rupture. Pas bien. Par contre, si tout va bien, vous pleurerez de joie à l’écoute de ces jolies mélodies et envolées. Mais je le répète, si vous avez perdu votre hamster, évitez.
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Délicate partition dépouillée façon « vie simple à la campagne », qui mêle tons rustiques et timbres vibrants (cordes, guitares, harpe, piano, dulcimer…) exposés de manière lumineuse. L’aspect parfois mélodramatique est constamment équilibré par un usage délicat des instruments solistes. Beau travail.
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