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Un superbe thème, de ceux dont seul Goldsmith avait le secret, ouvre avec vitalité ce western comique familial (!!!) Tous les développements qui s’ensuivent sont bien sûr exquis, et on passe avec aisance de l’émotion à l’aventure avec le sourire aux lèvres, jusqu’à un final réjouissant. À ceux qui l’avaient raté en 2009 : ne passez pas à côté !
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Composé la même année que Papillon, ce score en reprend certaines idées, assorties ici d’un parfum d’aventure sans ombre, solaire et euphorisant, sans verser dans l’épaisseur orchestrale qui pèsera sur ce genre de score de Goldsmith vingt ans plus tard. Sec mais chaud et doux comme le vent du désert, porteur des promesses d’aventures idéales.
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Alors bon, ne vous excitez pas, c’est juste le boss qui voulait en parler. Et il a raison le bougre ! Parce que l’air de rien, c’est un score presque fondamental de Goldsmith. Bon après moi je ne sais pas parler musique alors bon. Mais quand j’écoute ça fait du bien dedans mes oreilles, c’est tout.
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Sans être un chef d’œuvre de Goldsmith, ce petit indien est remarquable par son parcours bien troussé et son exotisme de bon aloi. On n’en voudra donc pas aux retardataires qui le redécouvriront, les oreilles charmées par ce score suranné et pourtant consistant.
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J’ai toujours eu un faible pour ce score d’aventure dans la droite ligne des musiques de western façon Bandolero! Le thème est génialement accrocheur, les orchestrations exotiques et typiques de l’époque (harmonica, basse électrique) achèvent de m’emplir d’un bonheur juvénile. Les variations plus douces du thème sont aussi très réussies.
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