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A l’écoute de cette flamboyante partition baroque, unique composition de l’auteur pour le cinéma, on ne peut que regretter amèrement sa brutale disparition cinq ans plus tard. Romantique, épique, luxuriant, majestueux, orné de somptueuse sections chorales, ce très british Lady Jane est une superbe révélation, et un achat indispensable.
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Très belle découverte, inédite jusqu’ici et œuvre d’un compositeur de concert et théâtre, combinant avec exubérance et panache un style volontiers altier et une emphase royale toute baroque à des musiques de source plus adéquatement Renaissance et un thème principal outrageusement romantique, qui reçoit ici un traitement éditorial grand luxe.
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Quelle claque dans les dents… Arrêtez tout, écoutez-moi cette merveille de composition classique. C’est bon ? C’est fait ? Alors ? Elle est pas belle la vie ? Bon bah voilà. Ah oui y a tout, alors c’est un peu long. M’enfin on ne va pas s’arrêter à ça. Pas là en tout cas. De quoi ? Mais c’est vous, deux poids deux mesures !
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Un score très ambitieux à l’ampleur symphonique romantique et épique qui pétrifie son auditeur dès les premières mesures ! Les thèmes ont un souffle évocateur superbe. Quartet offre ici deux versions : celle du film, très orchestrale et dramatique (ma préférée) et l’album annulé de 1986, réarrangé avec des éléments pop et des chants pour chœurs.
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